Comme ministre de la ville, j’ai vu ce que beaucoup ne voient pas.
J’ai parcouru, tout au long de ce mandat, plus de 65 villes et quartiers populaires où la population vit en grande majorité sous le seuil de pauvreté, dans des conditions de précarité sociale radicale.
Pour moi la politique de la ville est indispensable pour lutter contre les fractures territoriales et sociales. J’ai fixé lors du Comité interministériel des villes 2025 trois priorités essentielles :
1) Mettre l’enfant et l’adolescent au cœur de la ville (éducation, santé, culture, sport)
2) Améliorer le cadre de vie et la sécurité publique (propreté et tranquillité)
3) Accélérer le développement économique, social et commercial.
1) Mettre l’enfant et l’adolescent au cœur de la ville (éducation, santé, culture, sport)
2) Améliorer le cadre de vie et la sécurité publique (propreté et tranquillité)
3) Accélérer le développement économique, social et commercial.
J’ai construit ces orientations avec les associations et les élus locaux : 250 acteurs (élus, maires, parlementaires, associations, acteurs économiques, bailleurs sociaux et institutions financières) ont préparé avec mon équipe les grandes lignes de la politique de la Ville pour les trois prochaines années.
Ce Comité, qui a rassemblé neuf ministres à Montpellier, a arrêté 44 mesures structurantes, toutes adoptées en interministériel et intégralement financées dans le cadre de la loi de finances 2025,
sans surcoût.
Enfin, j’ai souhaité engager une méthode inédite de suivi de la mise en œuvre, en associant étroitement le Conseil national des villes et l’association d’élus « Ville & Banlieue ». Une grande partie de ces mesures est d’ores et déjà en cours de déploiement.
